Que Paris se vide de quelques (centaines de) milliers d’âmes dès fin juillet c’est une bonne chose. On y voit plus clair. L’air revient, on respire, on musarde sous les néons, tranquille. Et y a pluss de place Boulevard des Yaourts, forcément. Mais il y fait plus frais aussi : avec les frigos qui carburent à fond, sans résistance, la température descend en schuss en dessous-de la barre des 10°C dans certaines grandes surfaces. (Le Bon Marché ici, je crois, à moins que je me trompe). Alors on ressort les parkas, les écharpes PSG, pour braver la banquise. On peut même observer certaines caissières (presque immobiles du matin au soir, les pauvres) travailler avec des mitaines.
Cette année c’est sûr, c’est pas la canicule.
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