Gastéropodes

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(Lecture de la première page d’HYROK, par Giacomo Manfredi, le 12 mars 2010, en la cathédrale de Zvovsk.)

On me demande, on m’envoie des messages : Alors ? Alors Nicolaï ? C’était bien ta soirée hein ! Non ? Tu dis rien ? Allo ? T’es là ? Tu nous fais pas un petit compte rendu, toi ? T’as bien lu en tout cas. Et l’autre aussi il a bien lu, génial. L’acteur-peintre Xavier Devaud. Quels talents. Regarde y a des photos par là-bas.  Allo NLR ? Y a quelqu’un ?

Oui, pardon, bonjour. J’étais un peu ailleurs. Me revoilà.

MERCI à tous d’être venus. Chaud au coeur, vraiment, chouette soirée. J’en ferai d’autres.

Mais, si j’ai bien eu une sensation de chaleur, de convivialité voire même de fraternité, je n’ai pas véritablement d’avis. Je préfère ne pas en avoir, disons, rester dans le flou ; sur cette « soirée HYROK », étrangement, je suis peut-être le seul à ne pas avoir d’avis. J’ai comme un flottement, une mollesse. Une soirée où, semble t-il, — et à en croire quelques échos — « apparence » n’était pas un vain mot : un mot pour le moins hyrokien. Apparence. Un de mes mots préférés. Un terrible mot.

Donc, comme moi je n’ai pas d’avis, comme moi j’étais tellement dans la soirée, dans la lecture, dans ces quelques textes qui tournaient en moi, que je ne l’ai pas vue passer cette soirée, que je ne me suis rendu compte de rien, ou presque, je vais juste retranscrire quelques petits flashes sans prétention, quelques éclats de voix, des trucs qu’on m’a dits. Je suis photographe, bien sûr, mais ce soir-là j’avais pas mon appareil, moi. Et j’ai pas vu grand chose en fait. Alors voilà.

***
Bon, tout est prêt Nico, le buffet, l’éclairage… Il va y avoir assez de vin tu penses ? En rouge on est pas un peu juste ?
Non non, ça va, c’est bon, là… Vingt bouteilles ça devrait aller. Pis y a de la bière et du Coca sinon. J’ai tout prévu. Même dix kilos de clémentines.
Tu voulais une soirée HYROK, tu l’as, mon vieux ! T’as plus qu’à assurer tes lectures.
Pas si facile de se détacher d’un texte qu’on a écrit, encore si frais, mais je ferai au mieux.

***

C’est quoi ces bouquins, là ?…
Quels bouquins ?
Ben ça… Séditions…  Unplugged… La Fêlure…  on dirait la même collection, toutes ces piles de livres…
C’est toute la collection M@nuscrits, oui. Au complet.
Ah bon… Mais ça te gêne pas ?
Comment ça ?
Ben chais pas, c’est la soirée HYROK non ?
Oui mais j’ai aussi proposé à Léo de parler de  M@nuscrits, donc il en a profité pour envoyer toute la sauce, le connaissant c’est normal… Ça ne me choque plus… C’est même bizarre qu’il ait pas mis quelques exemplaires du dernier Nabe avec… — ça j’aurais préféré, remarque… nettement…
T’as pas l’impression d’être un peu dépossédé de ta soirée, là ?
Moi ? Noooon ! Non non. Je suis un mec cool. Très ouvert.
Tu savais qu’il allait envoyer tous ces bouquins ?
Non, du tout. Paquet surprise. C’est arrivé ce matin par coursier.
Putain comment je me serais énervée moi, tu m’fais halluciner avec ton calme… Il prend le CENT pour une librairie ou quoi ? il vient vendre ses bouquins à TA soirée ! C’est hyper cavalier ! T’as pas l’impression de te faire enfiler à sec, là ?
Détends-toi Sylvie, détends-toi. Tout va bien. Relax. Zen. Pas d’enculade, non. Léo est parfois un peu spécial, certes, un peu taquin, mais il est très sympa. Un vrai bon vivant. Le seul des ELS, quand même, qu’est resté quasi jusqu’à la fin et qui m’a dit au revoir, m’a remercié. Tout comme Julia d’ailleurs, une fille formidable, mon éditrice, la toute première arrivée. A l’heure.

***

C’était qui le rouquin au milieu de la table ?
Rouquin ? Blond plutôt. Le directeur littéraire.
Mais il foutait quoi ici ? j’ai pas compris…
Ben.. euh… il présentait mon livre…
Ah bon tu trouves ? Ha ha ha laisse-moi rire…
Je sais pas… T’as pas aimé ?…  Moi tu sais j’avais la tête dans ma lecture…
Il a lu la quatrième de couv’ dans le taxi tu veux dire ! Aucune préparation, rien. Tu parles d’une présentation… Mon pauv’ Nico… t’as vraiment rien vu toi… De l’extérieur c’était à se demander si ces mecs-là sont tes éditeurs… Si même ils ont lu ton bouquin ch’te jure !… Jamais vu ça…
Ah bon tu crois ? T’exagères, quand même…  Ils sont sympas d’être venus déjà… Faut pas leur demander la lune non plus… Les remercier pour leurs efforts plutôt… Ils sont véritablement débordés…
Ouais… C’est à ta fameuse lectrice, Christiane, que t’aurais dû demander de présenter ton livre !
Ben oui, c’est ce qui était prévu mais bon. Comme je l’ai dit, elle a eu une tuile à la dernière minute, c’est pas sa faute, ça arrive. Crois-moi qu’elle aurait mis le livre au centre de la soirée, elle. On en aurait un peu parlé. Je pouvais pas faire ça tout seul.
T’auras vraiment eu de la chance jusqu’au bout toi hein, avec ce bouquin…
Dis pas ça Greg, je suis publié mec, c’est déjà pas si mal… C’est un privilège de nos jours tu sais… un luxe rare… Tu te rends pas compte…
Mouais. Je sais pas que te dire, Nico…

***

Il est venu avec sa petite nièce ?
Qui ?
Ben votre éditeur…
Ah, non, je crois pas… ça doit être une stagiaire sans doute…
Ils arrêtaient pas de parler et de se marrer près de la porte, au début de votre lecture… C’était très pénible… j’ai failli leur dire quelque chose, non franchement…
Ah bon ?
Oui, j’ai trouvé ça très moyen. Ce manque absolu de respect.
Je me suis pas rendu compte vous savez…  J’étais plongé dans mon texte… Mais ça m’étonne de lui quand même, lui si près de ses auteurs, si à l’écoute, si papa poule… Non vraiment je comprends pas. Vous êtes sûr que c’était lui ?
Vous voulez mon avis ? Il en a rien à faire de votre roman, ça se voit.
C’est vrai ça Nico, il a raison : tu m’étonnes de pas t’en apercevoir, toi qu’es si observateur d’habitude, si lucide…
Tu crois ?
Mais c’est clair ! Tiens, t’as qu’à voir comme il se tenait, tout au bout de la table pendant le débat, en arrière, aucune implication, rien. Le mec imperméable, extérieur. Aucun avis sur ton texte, sa saveur, son contenu. Il parlait que de chiffres de vente t’as pas vu ? Bonjour la soirée littéraire !… Il s’est un peu animé quand il a commencé a parler de son truc M@nuscrit là… Et qu’un type posait des questions… Mais ton livre, il l’a pas lu comme il faut, c’est pas possible autrement… Dingue que même toi il ait réussi à t’enfumer…  Même toi !
Dis pas ça, dis pas ça… Il a dû le lire… au moins une partie… Vous savez, c’est pas facile le monde de l’édition, faut les comprendre ces gens-là… Ils peuvent pas être partout, s’occuper de tout le monde comme ils voudraient…
Arrête. T’es un écrivain toi. Un vrai. En un seul bouquin. Boum, l’évidence. Pas besoin d’en « écrire dix », comme il dit si bien… Et ça il doit pas trop avoir l’habitude…
Oh je sais pas… Je sais pas… J’essaie de me faire petit moi tu sais… maintenant j’ai compris…
En tout cas moi vais aller laisser un message sur son blog, dire un peu ce que j’ai ressenti. Non mais merde !
Laisse tomber.
Pourquoi ?
Ton message passera pas, il modère tout ce qui dépasse. Tout ce qu’il ne trouve pas « agréable ».
Ah bon ?
Ben oui. Une façon comme une autre de lutter contre le monde hostile des internautes et des auteurs pas très contents. Si tu veux laisser un message, faut que ce soit un message de remerciements, dire que c’était très sympa, que tout le monde était beau, drôle, sentait bon, etc.
Un blog pare-balles quoi… Dommage.
C’est comme ça. Faut le comprendre, il a beaucoup donné tu sais… Alors là il se recroqueville, il dégage tout ce qui le gêne…  Voilà.
Bon, ben tant pis. Allez, on boit un coup à ton bouquin, plutôt !
A la tienne ! à HYROK !
A la suite de HYROK aussi !
Ah bon, t’en fais un autre ?
Ben qu’est-ce que tu crois Bastien ? Que j’vais m’arrêter là ? A ce premier pavé dans la mare ? Ha ha ha ha ha… T’as rien vu encore…
J’espère que ça parle pas de politique.
Non non. Pourquoi ?
T’es nul en politique.
Tu crois ça ?…

***

(Si vous avez d’autres flashes, d’autres petites bribes intéressantes à transcrire, la parole est à vous, chers invités ! Désolé si vous m’avez trouvé un peu « absent » ce soir-là, à part lors de ma lecture. La soirée continue… maintenant que je suis bien réveillé…)

En tout cas merci encore de votre présence. Frédéric de Beauvoir, le directeur du CENT — que je remercie pour son accueil et son dynamisme —, a estimé quant à lui cette soirée « tout à fait réussie ». Je pense qu’il faut être de son avis.

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93 Réponses to “Gastéropodes”

  1. Stalker Says:

    Ha ha ha !
    Excellent !
    Quelques petits bouts, donc, d’impressions, dans le désordre, sans nommer tous mes acteurs, ils se reconnaîtront.
    Je m’assoie pour ta lecture, à côté d’un petit brun que je renifle psychorigide (je ne me suis pas trompé) chaussé de lunettes à quadruple foyer qui donne à ce gaillard l’allure d’un Nabe. Yeux énervés, minuscules, qui ne vous fixent pas ou, s’ils vous fixent, c’est bouillonnants d’envie et d’une colère que l’on dirait bien trop forte pour passer par ses petits poings.
    Pas un mot entre nous, pas un seul sourire, encore moins rire, lors de tel passage drôle de ton livre. Le gars coincé, visiblement, et qui jamais ne se détendra. Quelques minutes plus tard, à l’étage, après un ou deux verres, je le salue, c’est un comble, il ne me reconnaît pas, rapport à mes lunettes noires virtuelles que ce soir-là je ne porte bien évidemment pas. Puis il s’excite, une vraie petite crise d’hystérie dans un accent digne de Garcimore sans tour de magie hélas : je prendrais en otage, rien que cela, le christianisme, et bien d’autres choses qu’il refuse de me dire, devenant rouge d’excitation. Je lui conseille de se calmer, la colère est mauvaise conseillère.
    Je laisse notre petit bonhomme faire sa Sabine outrée, en transe, ravie, violée peut-être, m’approche du sympathique Knight qui, comme depuis le début de la soirée, surjoue son rôle.
    Je lui dit que j’ai horreur des bonshommes qui jouent aux bonnes femmes et, pour un peu, vous jetteraient leur verre de blanc à la figure, hostias de perro !
    Quelques minutes plus tard, une toute petite femme dont le seul but semble être de se glisser entre les convives à la recherche d’une miette de discussion à picorer, petite femme que j’ai immédiatement reconnue tant sa vilaine photo ressemble à son vilain visage inexpressif, mitraille de son appareil portable toute la salle et me regarde, sans bien sûr se présenter, comme si j’étais le diable en personne, s’approche de mon groupe et nous demande si elle peut nous photographier. Je la regarde et lui dit : « pas moi »… Reculade immédiate, elle se confond en excuses, elle a dû se retenir de faire un bond surhumain je crois, la pauvre.
    Avant : discussion (de trente secondes) avec Nic, Rip et Knight sur telle post-ado bipolaire. Diagnostic identique. Domecq nous rejoint et me serre la main : de nouveau, nous sommes d’accord, l’intervention de Léo Scheer est d’un ennui prodigieux.
    A l’entrée, au tout début de la soirée : Léo Scheer, tout de noir vêtu comme à l’accoutumée, auprès d’une jeune femme (22, 23 ans ?) qu’il me présente après m’avoir serré la main. J’oublie immédiatement prénom et nom de la demoiselle, elle se sauvera d’ailleurs en pleine lecture de ton Hyrok. Qui se souvient d’elle ? Jolie petite tête, interchangeable à merveille.
    Les choses sérieuses commencent, puisque Florent Georgesco risque quelques saillies humoristiques. Calamiteuse présentation de Florent Georgesco de ton livre, en effet. Mais d’ailleurs, qu’attendre de lui si l’on en juge par ses piètres prestations télévisuelles, lorsqu’il présente les livres de ses auteurs, sur le blog des ELS ?
    Illustration par l’exemple donc. Il nous dira, ensuite, que son métier est de lire. Apparemment, il ne t’a pas lu.
    Après ta lecture : voix enjôleuse de Léo Scheer, insupportable de miel lorsqu’un énervé ne lâche pas le morceau et lui repose, d’une autre façon, une question à laquelle bien évidemment il n’a pas répondu.
    Léo Scheer qui nous dit qu’in fine, c’est la personne qui le convainc qu’il lui faut éditer (ou pas) le livre dont elle est l’auteur et que ma foi, un bon livre (geste expressif de la main qui paraît lâcher quelque secrète fragrance sous son nez expert), cela SE SENT.
    Pas assez parlé avec toi, cher Nicolaï, on te sentait, effectivement, absent et même… triste.
    Mais c’est je crois la loi constante de ce type de raout…

  2. Matthias "BenReilly" Jambon-Puillet Says:

    Putain le vague à l’âme que tu viens de me coller mec là. En combo avec la mélancolie du dimanche.
    Je voulais venir mais j’étais pas dispo.
    Veux te faire un caliiiin nico !

  3. Véra et sa ribambelle Says:

    Et bien Nicolai (i tréma) vous avez bien répondu ! Ces remarques perfides sont celles de ricanants, de pipelettes et de mauvaises langues lesquelles, inconsciemment, souhaient peut-être vous saper le moral. En tentant de minimiser les qualités de votre éditeur, c’est peut-être, indirectement votre personne que l’on vise, et inversément. Je ne vois absolument rien d’indélicat dans ce qui est repproché. Pour ne citer qu’un exemple récent, lors du grand colloque consacré á Montherlant á Bruxelles, absolument personne n’a rien trouvé á redire du fait que tous les ouvrages de Gabriel Matzneff – par exmple – étaient exposés et á vendre. Je dirais même plus, vous auriez pu, si cela n’a éte fait, déposer des dossiers sur le comédien qui a lu votre texte. Oú est le probleme ? (e accent grave)

  4. Véra mononeuronale Says:

    Bon, je vois que ma lenteur a éte devancée par qui vous savez. Pas de surprise. PS : un e á exemple.

  5. Stalker Says:

    Elle n’y était pas, elle n’a rien vu, elle n’a comme d’habitude strictement rien compris au texte qu’elle vient de lire mais elle nous donne quand même son précieux avis, à seule fin dirait-on de citer, pour la cent-millième fois depuis qu’elle s’est réveillée ce matin, l’unique auteur qu’elle semble avoir lu de sa vie (Matzneff, pas Montherlant).
    Je vous conseille, Véra machin, de lire l’excellent roman de Juan Gabriel Vasquez, Histoire secrète du Costaguana : à telle page, vous y trouverez la définition d’un concept qui vous irait à merveille, le « journalisme de diffraction », ou comment transformer la réalité à force de sottise imparablement contente d’elle-même et d’auto-persuasion…

  6. Dahlia Says:

    @Vera: vous êtes au demeurant une personne sympathique, mais là vous ne savez pas du tout de quoi vous parlez. Relisez ce post de Nicolaï plusieurs fois et attentivement, mais ne vous sentez pas obligée de commenter. Vraiment.

  7. Véra mononeuronale Says:

    Stalker, je décide de rire, tenez, parce que c’est fou ce que vous pouvez être prévisible. Tiens, j’aurais même dû parier… Parce que vous croyez vraiment que c’est par pur hasard que j’ai cité qui vous savez ? C’est plus fort que vous, vous ne résisterez jamais á vos piqûres.

    P.S. : Monsieur Domec s’écrit sans Q.
    PPS : consommer vin ou alcool et antibio est suicidaire.

  8. Stalker Says:

    Véra mononeuronale, puisque vous avez adopté ce patronyme que vous portez avec un indécent et crâne panache : l’alliance de la beauté physique perdue et d’une incommensurable bêtise perpétuellement contente d’elle-même et qui sera, elle, l’unique consolation de vos vieux jours est je crois le pire des châtiments qui puisse s’abattre sur une femme.
    Je vous plains donc sincèrement.

  9. Cécile D. Says:

    l’un de mes flashs il est aussi là ,très net dans ce qu’a dit Stalker:
    « … cher Nicolaï, on te sentait, effectivement, absent et même… triste. » et j’aurais voulu aller vous parler de tout cela, de tout ce que je ressentais , mais… je n’ai pas osé.
    je suis sortie moi aussi quand « Léo Scheer nous a dit qu’in fine, c’est la personne qui le convainc qu’il lui faut éditer (ou pas)  » entraînant avec moi Christian Domec.. dans mon « écoeurement » … je ne suis restée qu’apparence pdt cette soirée, volontairement, car un peu affaiblie actuellement, j’aurais eu peur de mes débordements…
    j’aime beaucoup l’accent ironique de votre billet.. *_*

  10. Vallombreuse Says:

    La video est géniale, avec cette voix caverneuse.. J’imagine tellement un film avec votre HYROK en entier, ça me donne le frisson!
    Quant à la soirée, malheureusement je n’étais pas là, je n’ai pu venir comme je vous l’ai dit la dernière fois… Les avis sont partagés dirait-on, dommage que christiane ne soit pas venue non plus, ça aurait peut-être évité tous ces soucis qui vous attristent….
    Bon courage pour la suite de votre écriture! (même si je ne m’attendais pas à une « suite » à votre roman.) Vous méritez de réussir .

  11. Sophia-Maïté Ray Says:

    Une putain de mauvaise soirée?

  12. Véra Says:

    Nous y voilá ! Bien, bien, bien, me voilá donc enfin fixée. Tant pis.

  13. nic Says:

    Mis à part qu’il faisait froid et que le démarrage était un peu… bizarre, j’ai passé une très bonne soirée. Tu as très bien lu – mieux que le comédien. Je n’ai pas écouté la suite, je bavardais avec Knight et Stalker – sans opinion sur Alex que je ne connais pas.
    J’ai eu beaucoup de plaisir à rencontrer les protagonistes du blog des ELS et j’ai trouvé ta compagne charmante !

    (Enfin, pour donner un avis-à-vue-de-nez : leo n’a pas lu Hyrok et Florent estime qu’il en est l’auteur – pour ce qu’il a de meilleur.)

  14. Marco Says:

    Nicolaï, une confidence. Sais-tu quand j’ai décidé, vraiment, de lire ton « Hyrok »? Précisément à la suite d’un de tes billets, sur ce blog, un billet qui faisait l’historique de ton manuscrit et ton « parcours » sur le blog ELS. Je m’étais dit: ce mec n’est pas seulement le plus courageux internaute que je connaisse, il a le génie de l’ironie sans aigreur, cette fois c’est sûr: je lis son roman. Tu connais la suite: c’est peu dire que je n’ai pas été déçu.
    Eh bien je retrouve tout ça dans ton billet du jour. Sacrée audace, sacré humour, sacrée finesse. Parfois tu m’agaces (le côté mise en scène: « oui monsieur, moi je suis un ogrrrrre! ») mais là, merde, tu m’épates: alors oui, tu peux te vanter d’être ce que tu es. Et pour ce qui est d’une possible « tristesse », je ne puis en juger, mais peu importe: si tous les gens tristes avaient ton énergie et ton sens de la distance, je voterais sans hésiter pour un monde de tristesse.
    :))

  15. Jacouille la fripouille Says:

    Stalker, t’es qu’un snul.

  16. Véra Says:

    Pourquoi, Dahlia ? Ne me dites pas que vous aussi vous pensez que les ELS, Léo Scheer, l’éditeur de HYROK, et le vôtre, n’étaient pas á leur place au CENT ? Ou je rêve ?

  17. Grenouille Says:

    Je n’étais malheureusement pas présente…mais un grand bravo Nicolai
    pour ce joli buffet préparé avec tes proches! Il faut aussi amour et respect
    des autres pour faire cela. TA soirée était trés réussie d’après les échos
    parvenus. Courage, un jour viendra……

  18. Stalker Says:

    Ah, tout de même, mon cher Nicolaï, il y a de quoi rire chez nos amis Lebrun/Jaillant/Scheer.
    Fais attention, tu vas faire l’unanimité contre toi, ce serait une sacrée performance.
    1) Bien évidemment, on se demande de quel droit Marie Lebrun, dont chacune des interventions sur le blog des ELS a toujours été un sommet d’insignifiance et de platitude, pourrait juger un malaise qui, avouons-le, n’est pas complètement neuf pour qui sait lire, s’étant installé entre toi et ton éditeur. Pas grave, Marie Lebrun, auteur de rien du tout, blogueuse inepte, commentatrice insignifiante, y va de son commentaire. A ladite soirée, elle qui se permet de faire la maline, elle n’a pas osé s’approcher de moi à moins de deux mètres : une faux-cul, une trouillarde, se confondant en excuses lorsque je lui ai demandé de déguerpir (elle voulait me photographier ;-) mais attention, va pas croire que ces hautes qualités vont l’inciter à la prudence ! Non non non, c’est mal connaître l’étrange force des médiocres : elle stigmatisera donc ton attitude, et de lâcher ses petites daubes sur « qui vous savez » comme elle dit.
    Pauvre femme.
    2) Lise-Marie Jaillant : à croire que notre Jeanne d’Arc de l’édition pour nuls n’est jamais allée de sa vie à une soirée. Bien évidemment, elle confond tout, son billet n’étant qu’une façon de mêler Léo Scheer à Dantec, pour la plus grande gloire de ses statistiques de consultation, en berne selon de bonnes sources.
    3) Léo Scheer enfin, de loin mon préféré, Léo Scheer qui a laissé sur son blog, durant des semaines voire des mois, des tombereaux de merde, d’insultes, d’insinuations, de diffamations se déverser sur plusieurs de ses lecteurs (femme, homme, auteurs, blogueurs), est devenu, ne trouvez-vous point, d’une sensibilité prodigieuse depuis que la toute gentille Wrath a réussi (en s’adressant à son hébergeur) à faire supprimer la note de Dantec en moins d’une heure, alors que lui-même, pourtant diligemment secondé par une star du Barreau, n’a toujours pas réussi à faire supprimer une note interrogative qui l’insulte et le diffame sur le blog de notre poétesse de l’édition pour sous-singe à clavier.
    Désormais, toute personne qui dare-dare ne dit pas que ces livres sont exceptionnels, toute personne pointant le népotisme manifeste dont telle jeune auteur a visiblement engrangé les bénéfices purement littéraires (je vous renvoie à la ridicule note saluant la parution du livre d’une certaine Marie Rivière, placée sous le haut patronnage de Matzneff) on s’en doute, est d’office un salopard qui l’insulte et le diffame.
    On comprend qu’il ne soit pas content du tout, mais alors pas du tout, surtout depuis qu’il en est réduit, sur son blog dont il aura réussi à dégoûter à peu près tout le monde et surtout ses propres auteurs qui, sauf exception, n’y commentent jamais, à taper du pied comme un enfant privé par ses camarades taquins de jeu de billes.
    En voilà un qui récolte ce qu’il a semé : le silence, à force de trop jouer, sous prétexte d’expérimentations sociologiques, avec des pseudonymes qui, finalement, se sont révélés des personnes.
    Qui donc, pendant cette soirée, est d’ailleurs allé lui parler ? Pour entendre voire écouter quoi, d’ailleurs ? Rien. Pas moi.
    Ce commentaire est donc un appel pressant à votre charité : je vous en prie, allez donc commenter sur le blog de Léo Scheer (puisqu’il nous a répété que ce n’était plus celui des ELS), il en a tellement besoin pour tromper son ennui dévorant !

  19. Marie Says:

    @Stalker.
    « Une faux-cul, une trouillarde ». Pas comme vous donc, qui vous dissimulez sous le pseudo « Barbe » pour demander sur mon blog si insignifiant, selon vos goûts, « comment est Stalker ? »: On reconnaîtra là l’égocentrisme pathétique du blogueur hypocrite qui dénonce les copinages tout en écumant les soirées littéraires. Rappelez-vous, l’anniversaire des éditions d’Ormesson; vous avez fait pression sur cette pauvre nunuche d’Elizabeth Robert, pour qu’elle enlève la photo qu’elle avait mise de vous sur son blog ! Cela vous obsède votre très précieux « droit à l’image ». Une image dont quasiment tout le monde à part quelques admiratrices neuneus, se contrefout.
    Mais c’est pour vous provoquer, pour susciter la réaction attendue que je vous ai demandé « l’autorisation » de photographier votre face de navet ( visage peu amène aux yeux globuleux, déformé un rictus acquis par des années d’échec social et de haine).
    « je ne me suis pas présentée » dites vous. Vous croyez que j’ai fait 600 km pour assister à une soirée littéraire à seule fin de me présenter à un individu qui m’a insultée des centaines de fois sur le blog des ELS ?. Mais je préfèrerais encore serrer la main du plus minable chroniqueur mondain de Paris que la vôtre, pauvre fat. Vous vous prenez pour le centre du monde, vous délirez complètement.
    Dernier point: cela fait quatre mois que le roman de NLR est sorti; vous qui rédigez plus vite que votre ombre, pourquoi pas encore une seule critique concernant le premier roman de votre grand ami ?

  20. le koala Says:

    Hum.
    En fait, vous êtes sûr qu’il y avait une bonne ambiance du côté du buffet campagnard – bar-à-vins ??

  21. Stalker Says:

    Ma pauvre Lebrun, vous êtes bien pathétique et avez néanmoins réussi à me faire rire : j’étais bien malade et, oui, n’ai pu afficher le bronzage mordoré d’un Nic. Pour vous, la prochaine fois, je vous promets une séance d’UV.
    Je vous ai insultée, vilaine face de sorcière irascible ? Je me suis contenté de pointer votre sépulcrale nullité, votre envie recuite de petite provinciale qui, « à la capitale », rase les murs.
    Qu’avez-vous écrit ? Rien.
    Qu’avez-vous publié ? Rien.
    Etes-vous une blogueuse d’un peu de talent ? Autant que je suis un adepte de Nothomb.
    Etes-vous une lectrice de blog qui, au moins, nous ferait rire par son humeur et sa finesse ? Pas du tout, vous puez la cul-terreuse, l’esprit de plouc : pas d’humour, aucune ironie, pas d’auto-dérision, une vache normande, face à vous, s’arracherait à la boue avec la légèreté d’un ballon d’hélium.
    A quoi avez-vous servi sur le blog des ELS, sinon à branler votre lourd chef de Martine Aubry constipée avec le dernier âne qui avait crotté ?
    Du haut de votre mètre cinquante, qu’avez-vous donc à me dire qui soit un tantinet intelligent et ne pue pas la consternante bêtise de celle qui, derrière son écran, trompe son ennui en bavardant ?
    Qu’avez-vous fait, à cette soirée où nul ne vous a vue, où nul ne vous a parlé quelque peu intelligemment ? Vous êtes allée de groupe en groupe : aucun n’a voulu vous retenir.
    Je vous ai regardée, comme Monsieur Teste regarde une mouche : triste soirée que la vôtre, j’ai failli vous apporter un petit-four.
    Vous avez la tronche insurpassable de la mère supérieure et n’avez pas même honte de l’étaler sur votre blog, bonjour les cauchemars, si vous avez des lecteurs.
    Pour le reste, quel drôle de compte aurais-je donc à vous rendre, si vilaine bonne femme ?
    Qu’êtes-vous, si ce n’est rien, comme la lecture de votre nullissime blog nous le laisse entendre et voir ?
    Avez-vous relu votre pathétique compte rendu de fonctionnaire sépulcral de cette soirée, sans talent, sans grâce, sans âme, sans un bon mot, sans même une photographie correcte des invités ?
    Pas d’oeil, pas de plume, pas de langue : je vous revois, pauvre femme, vous retirer pitoyablement, comme une musaraigne blessée, lorsque je vous ai balancé deux mots.
    J’avais reconnu votre vilain visage, votre physique ingrat dès le premier coup d’oeil, ne vous en faites pas.
    Votre laideur physique n’est finalement que le rejaillissement haineux de votre laideur intellectuelle et morale.
    Vous puez la médiocrité, petite dame et ne savez plus trop à quelle branche vous raccrocher, si ce n’est à celle de Léo Scheer qui s’est bien amusé avec vous sur son blog.
    Pardon : qui a bien laissé les autres s’amuser avec vous.
    Finalement, vous n’êtes même pas bonne pour une de ses fameuses études sociologiques.

  22. Marie-Christine Says:

    Et bien, Nicolaï, tu m’en vois navrée. Je regrette d’autant plus n’avoir pas été présente: on aurait ri un bon coup. Il y aura d’autres occasions.

    Quoi qu’il en soit, tu peux être fier de ton Hyrok. C’est vraiment un bon bouquin. Pour le reste, tu l’utilises toujours aussi bien, ta brosse Gherta.

  23. Vermiceau Versicoloré (*) Says:

    (*) Copyright Stalker. Je tiens toutefois à préciser que je ne suis ni Véra ni sa ribambelle.

    Cher Nicolaï Lo Russo,

    Vous qui semblez être – espèce en voie d’extinction – un gentleman, comment pouvez-vous accepter que JA vienne sur votre blog pour y déverser tant de fiel ? Est-ce depuis que Léo Scheer a pris l’heureuse initiative de filtrer tous les commentaires de son nouveau blog ? Jamais sur le sien Stalker ne permettrait à quiconque de lui tenir de tels propos sans l’éjecter sur-le-champ avec un solide coup de pied au derrière.

    Tout cela est fort navrant.

    PS : ceci étant, cela ne m’empêchera de me procurer votre livre dont on m’a dit beaucoup de bien.

  24. le koala Says:

    Juan, voyons… Il y a des choses que je ne m’explique pas.
    Je suis passé en coup de vent – j’y reviendrai – sur votre trilogue avec Bartleby et Monti. C’est passionnant. Des tonnes de vrais sujets soulevés, et temporairement reposés, dans un domaine qui comme vous le savez m’interpelle beaucoup. Et là… ? Une page d’insultes plus inutiles encore que gratuites, tout ça pour quoi, pour témoigner de votre virtuosité en la matière ? … Mais on le sait, que vous êtes un grand fulminant, une bouche-à-feu, une caldeira grondante préparant sa coulée pyroclastique ! On le sait dès lors qu’on lit votre blog, qui vaut mille fois mieux que « ça »… Vous n’avez pas grand-chose à prouver, fût-ce à coups de gueule.
    On jurerait par moment qu’il y a (au moins) deux Stalker: celui qui alimente son excellent blog, et celui qui défouraille comme un psychopathe à la première contrariété. Bizarre. Enfin, peut-être avez-vous des raisons particulières d’en vouloir à ce point à Marie (encore quelque chose que j’ai du mal à m’expliquer…).

  25. Laurence Says:

    J’attendais ta vision de cette soirée HYROK avant de poster. Et je comprends ta déception, même si l’ambiance était bonne. J’ai aimé les lectures qui ont été faites et je m’attendais à une discussion autour de ton livre et là pas grand chose….je n’ai pas senti d’envie et d’enthousiasme de la part des éditeurs de parler de ton travail, et pourtant ton livre est excellent; je comprends bien que ton éditeur avait envie de parler de son concept manuscrit, mais derrière un concept virtuel, il y a des sensibilités réelles, et donc la tienne comme le montre ton post.
    Je suis sûre que tu auras une autre occasion de parler d’HYROK, et pas que sur la brosse gherta!

  26. Stalker Says:

    Moi, si j’étais Nicolaï, je serais plutôt outré qu’une Marie Lebrun, à laquelle nul n’a jamais rien demandé, lui fasse la leçon sur le blog à peu près désert de LS, tout en tentant de monter les uns contre les autres…
    Du fiel ?
    Tout ce que j’écris, Ténia/Véra, est vérifiable, y compris et surtout la lourdeur des traits de telle ridicule vieille chouette qui, après un milliard de commentaires insipides, n’a toujours pas pris son envol.
    Ceci dit, il est évident que le débat de fond est complètement occulté par nos interventions qui se bornent, plus ou moins finement, à rendre compte de l’atmosphère d’une soirée, fort agréable je l’ai écrit : Nicolaï Lo Russo a-t-il eu, avec les ELS, un éditeur ayant respecté les charges qui lui incombent (relecture, travail d’édition, SP, mise en rayon, promotion presse grâce, je cite de mémoire Léo Scheer, à la meilleure attachée de presse de France, Anne Pocureur, etc.) ?
    Je n’ai pas à répondre à sa place.
    Voici la question, l’unique question qui ne cesse d’être évitée depuis des semaines de palabres et de danses du ventre plus ou moins réussies car enfin, tout lecteur du Blog de Scheer aura remarqué une certaine… tension entre l’auteur et son éditeur, n’est-ce pas ?
    Cette note ayant pris de revers les bons sentiments d’une Véra et d’un Lebrun n’en est que la partie la plus évidemment visible.

  27. Stalker Says:

    Koala : je me détends entre deux inhalations ultra-soniques tentant de lutter contre la sinusite surinfectée purulente qui, lors de la soirée Hyrok, m’a donné ce teint livide délicatement pointé par le vieux coucou Lebrun, lui-même enrhumé du cerveau depuis sa naissance.
    Ah oui, Koala : l’étymologie du mot dialogue n’implique pas l’idée de dualité, comme votre remarque avec trilogue le laisse supposer. Bin oui, même Marie sait qu’on peut avoir un dialogue à 3, 4 ou 5 personnes ;-)

  28. Stalker Says:

    Je termine, pardon.
    Moi, Koala, je ne m’explique pas le fait que vous passiez autant de temps sur le blog de Lise-Marie Jaillant.

  29. V. Says:

    Comme votre note est belle Nicolaï : le gros plan organique, la subtilité des points de vue, la mise en forme jongleuse, et comme les commentaires sont laids, plombés par un Asensio/Barbe qui se déplace sur les blogs avec la grâce d’un fier pachyderme qui aurait avalé une bibliothèque, n’en retenant que l’âcre goût de l’encre.

    Si vous ne prenez pas un plaisir spécial à voir l’endroit souillé de la sorte, si vous ne goûtez pas particulièrement le « joyeux » bordel, je compatis. Mais vous devez être plus vaillant que moi, et la beauté, la pensée de vos projets doivent être, si vous en avez besoin, sinon une consolation, du moins une échappée.

    Bon courage, et que votre intelligence, votre modération et votre recul (le gris, les couleurs) triomphent sur tout. Je pense souvent à SIX MILLIONS, je veux voir ça.

  30. Nicolaï Lo Russo Says:

    L’animosité entre Marie Lebrun et Juan « Stalker » Asensio ne date pas d’aujourd’hui, comme chacun sait — ceux, en particulier, qui fréquentent, ou ont fréquenté le blog de Léo Scheer. Les quelques gentillesses internes laissés par eux sur mon blog à moi, que je pourrais « modérer » d’un clic de souris blanche, illustrent parfaitement le climat délétère qui peut vite régner sur le net, et ce, au détriment du fil de discussion. Qui se trouve, en effet, « plombé ». Mais je vais pour le moment les laisser intacts, à titre purement « sociologique ». C’est tellement amusant.

    Par contre, peu friand pour ma part de ce genre « d’échanges », ce seront donc sur mon blog les derniers de ce type. Les TOUT DERNIERS. A partir de maintenant.

    Je remercie les commentateurs qui ont bien voulu transmettre leur sentiment ci-dessus (négatif ou positif), pour leur avis et autre point de vue ; laisse le fil ouvert en espérant qu’une perspective un peu constructive, moins pénible que des « réglements de compte », se dessine. Je n’interviens que pour répondre à d’éventuelles questions.

    Par exemple, répondre par la négative à Sophia-Maïté Ray et lui dire : Non, ce n’était pas une « putain de mauvaise soirée », c’était plutôt une bonne soirée, comme je l’ai dit, visiblement chaleureuse, mais qui aurait pu se passer bien mieux. Comme le pointe Laurence avec pertinence, « derrière un concept virtuel, il y a des sensibilités réelles », eh oui, et puis, Marco, sur le blog de Wrath, qui différencie les « deux niveaux » de la soirée : D’abord soirée littéraire autour de mon roman et de M@nuscrits, mettant en évidence la relation entre les ELS et moi, peu empathique et tendue, froide ; puis la soirée sociale (rencontres entre internautes (ou non) autour d’un buffet et de quelques verres), et dont parle Marie L sur son blog, appuyée par quelques magnifiques photographies. Les deux parties étaient importantes. Disons que l’une a été un peu plus réussie que l’autre, pour des raisons déjà évoquées, mais qu’il appartient à chacun de juger.
    Ne pas oublier, quand même, que le titre de la soirée était « Soirée HYROK ».

  31. ousdekouet Says:

    Une histoire entre f(r)iction et réalité, habile processus narratif qui en dit long sur ta déception. Dommage, car nous sommes nombreux à avoir passé une bonne soirée. Un peu plus de concertation en amont entre ton éditeur et toi aurait peut-être permis d’éviter quelques déconvenues.

  32. Stalker Says:

    « Ceci dit, il est évident que le débat de fond est complètement occulté par nos interventions qui se bornent, plus ou moins finement, à rendre compte de l’atmosphère d’une soirée, fort agréable je l’ai écrit : Nicolaï Lo Russo a-t-il eu, avec les ELS, un éditeur ayant respecté les charges qui lui incombent (relecture, travail d’édition, SP, mise en rayon, promotion presse grâce, je cite de mémoire Léo Scheer, à la meilleure attachée de presse de France, Anne Pocureur, etc.) ?
    Je n’ai pas à répondre à sa place.
    Voici la question, l’unique question qui ne cesse d’être évitée depuis des semaines de palabres et de danses du ventre plus ou moins réussies car enfin, tout lecteur du Blog de Scheer aura remarqué une certaine… tension entre l’auteur et son éditeur, n’est-ce pas ? »

    Il n’y a pas que de la sociologie, même amusante, dans mes interventions, mon cher Nicolaï.

  33. Nicolaï Lo Russo Says:

    Oui, cher Juan, c’est un point, pour le moins crucial en effet, qui sera sans doute abordé ici dans quelques jours. Sur un billet spécifique et si j’en exprime la nécessité en terme de « clarification » de pans obscurs. Chaque chose en son temps.

  34. Minima Says:

    Cher Nicolaï, ne soyez pas plus naïf que Candide. Juan Asensio utilise votre lieu à la seule fin de se venger de Léo Scheer. Il l’insulte et le diffame ici, parce qu’il ne peut plus dégueuler en direct là-bas.

    Vous valez mieux que cette bassesse Nicolaï. Vous êtes infiniment plus subtil que ce mastodonte de la bêtise injurieuse. Juan Asensio pollue par ses rejets bileux votre blog sévèrement, et c’est bien dommage. Ça n’aidera pas beaucoup Hyrock. Si l’on imagine un copinage avec un tel troll, le risque de perdre des lecteurs est très élevé.

  35. Serpentin coloré Says:

    Cher Nicolaï juste un dernier mot, si je peux me permettre et puis je promets de coller un grand sparadra sur les moustaches de ma souris gauche.

    Pour ma part il ne s’agit nullement de règlementS de compte, vous vous en doutez, mais comme je viens de le dire sur votre mur facebookien, il impossible au drôle de vermiceau que je suis sensée être de se taire devant la mauvaise foi de JA alias Stalker quand il affirme sur FB :

    – « Hyrok je le crains : c’est un bébé qui, dès le jour de sa naissance (même pendant la couvaison de son papa), n’a reçu aucune attention de la part de ses piètres éditeurs. »

    A mon avis, « cher »Juan, vous deviez êtres en vacances quand :

    1) Dahlia a lu le m@nuscrit de NLR en « life », chapitre par chapitre, pendant toute une nuit… Avec commentaires réjouissants á l’appui.

    2) Que la ribambelle de Véra, avec les petits moyens qu’elles pouvaient et ses deux souris gauches, n’a pas cessé d’encourager Nicolai non plus.

    3) Le tollé provoqué parmis les autres m@nuscrivants quand Léo Scheer a décidé de consacrer un billet – une première – rien que pour la 4 me de couverture de ce m@nuscrit et puis un autre rien que pour les commentaires. Les visiteurs avaient pratiquement tous les yeux rivés sur HYROK, et je suis quasiment persuadée que Marie Lebrun et bieaucoup d’autres étaient de la partie.

    Alors, venir déclarer comme un grand sachem des travaux finis, dès lors que vous n’avez cessé de démolir, systématiquement, l’initiative scheerienne, que le bébé n’a pas eu les attentions méritées, c’est renversant de mauvaise foi crasse. Je partage les propos du Kaola quand il dit « qu’on jurerait par moment qu’il y a (au moins) deux Stalker: celui qui alimente son excellent blog… » etc. Vous devriez écrire un roman avec plein de méchants et de bons, comme dans les « Démons » mal traduits en « Possédés » de qui vous savez…

    • Nicolaï Lo Russo Says:

      On parle de promotion du livre publié, et non pas du m@nuscrit dans son stade initial, au sein de l’expérience que menait LS (ravi alors d’avoir un gros bébé comme HYROK à ausculter, triturer). Livre qui est sorti d’imprimerie deux semaines avant d’être en librairie le 7 octobre ; et qui de ce fait s’est trouvé dans l’impossibilité matérielle de pouvoir être lu par quelque journaliste que ce soit, déjà bien occupé par la Rentrée de Janvier. Vous avez bien lu : de janvier, cher Serpentin coloré… On appelle ça un livre mort-né. Tout simplement. Et je vois mal comment quelqu’un pourrait contrer cet argument-massue. La publication de HYROK — lisez bien : la publication — a été une calamité (partiellement reconnue par Leo Scheer) qui m’a, en effet, beaucoup attristé. Mais comme je le dis à Juan, j’en ferai un billet dans quelques jours, si nécessaire. Il est très possible que ce soit nécessaire d’ailleurs, vu l’obscurité qui semble régner encore çà et là.

  36. Serpentin coloré Says:

    Pour vous exorciser !

  37. Nestor Burma Says:

    Je n’ai pas pu venir à cette soirée,
    Et les échanges ici bas,
    Me donnent peut-être raison.

    Allez !!!
    A+

    C’est vrai que les photos de la soirée, présentées sur le site de Marie Ledrun sont vraiment à chier, effrayant !!!

    J’ai pas encore lu le bouquin

  38. Nestor Burma Says:

    Je me le garde pour plus tard,
    Quand j’aurais oublié vos conneries.

    • Nicolaï Lo Russo Says:

      Oui, désolé pour ces quelques impondérables, ces regrettables lignes, cher Nestor. Mais que voulez-vous : c’est la vie.

      Pour les photos, on est bien évidemment d’accord (vous êtes photographe). On dirait une amicale de boulistes. Manquent plus que les… serpentins colorés (si j’ose dire). Mais comment en vouloir à Marie L. ? Soyons compréhensifs et louons son effort de laisser une trace…

  39. Stalker Says:

    SC : de quel droit vous permettez-vous de reproduire, ici, un commentaire privé ? J’ai parlé d’éditeurs et vous évoquez la ribambelle des commentateurs du blog de LS, vous ne faites donc pas de différence ?
    Vous ne comprenez décidément rien, comme me le laisse supposer votre intervention renversante de bêtise.

  40. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Serpentin coloré. C’est vrai, Juan a raison, le « mur » de Facebook a un caractère privé, et ici tout est ouvert. En l’espèce ce n’est pas très grave (car aucune information « découverte ») mais essayez d’éviter de copier-coller à tout va. Merci.

    Je vous ai répondu un peu plus haut, suite directe de votre commentaire

  41. Laurence Says:

    Je ne comprends pas très bien certains commentaires, ici et là, car il me semble que ton post est assez clair: tu dis seulement que tu t’es senti seul et peu soutenu lors de cette soirée par ton éditeur, tu ne critiques pas le fait d’avoir été édité, juste de ne pas être soutenu!
    Alors, prenons comme tel, ce post, l’état d’âme d’un auteur dans une soirée qui lui était dédié! Sans interprétations!

  42. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Troll en ray-ban, aux mails multiples et erronés… (si si, vous, là-bas…) Je n’ai pas « deux poids deux mesures », comme vous le pensez. Je n’ai qu’un poids et une seule mesure : celle de la correction et du respect. J’ai modéré votre chapelet d’insultes à l’endroit de Juan Asensio, car je me suis exprimé, un peu plus haut, là-dessus (les insultes sur mon blog). Il s’agissait d’un « duel » entre Marie et Juan, comme il y en a des dizaines sur les blog des ELS, et que je ne veux à aucun prix reproduire ici. Je garde ces spécimens, comme je l’ai dit, comme ça, comme « souvenir sociologique ». Et parce que c’est extrêmement joli, ça décore.

    Mais STOP.

    Et je ne reviendrai pas là-dessus, ni pour vous, ni pour JA, ni pour personne. Ce blog n’est pas une déchetterie. Merci d’en tenir compte pour vos prochaines interventions.

  43. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Laurence. Merci. Puisse le Grand Choucas vous entendre et nous envoyer son Altitude.

  44. Sophia-Maïté Ray Says:

    Pour résumer, HYROC, un excellent roman.
    Léo Scheer, un éditeur qui peut mieux faire.
    La soirée, très bonne, mais pas pour tout le monde…
    La Brosse Gherta le blog de Nicolaï Lo Russo, qui ne peut se permettre de devenir le nouveau blog des E.L.S.
    Lisons, lisons, lisons, et pourquoi pas relisons,les aventures de Louison dans HYROC, putain de bon Prix LEO NEMO 2010.

  45. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Sophia-Maïté Ray. Merci, c’est bien résumé. HYROK le ROC, c’est ce que vous vouliez dire, I guess.

    « La Brosse Gherta le blog de Nicolaï Lo Russo, qui ne peut se permettre de devenir le nouveau blog des E.L.S » J’ajoute : qui n’en a surtout ni le temps, ni la moindre envie.

  46. Sophia-Maïté Ray Says:

    c’est le K, cher Nicolaï…

  47. Sophie K. Says:

    Mouhahahahaha ! Nicolaï, qui c’est donc t’y qui t’a refait la déco (y’a des impacts de balles partout, et un gros trou d’obus là où y’avait ta cuisine, la vache !)
    Bon, nous, on l’a trouvée très chouette, cette soirée, pas assez focalisée sur toi et ton travail – mais on est inconditionnels de HYROK, évidemment. Merci aussi au propriétaire des lieux, ça m’a beaucoup amusée de jeter un coup d’oeil rapide sur tous ces travaux au passage.

    Pour le reste, je ne m’en mêle pas, comme d’hab’ (oui, je suis lâche à un point inimaginable, et mon AK 47 est en révision alors bon).
    (Biz !)
    ;0)

  48. Observateur attentif Says:

    @NLR Juste une question, si vous permettez : j’avais lu, dans l’un de vos commentaires, une allusion au divorce largement entamé entre vous et les ELS (je crois que telle était l’expression exacte employée), mais je note que vous avez depuis censuré votre propre intervention (du moins, elle a disparu et je m’interroge à ce sujet : pourquoi cette modification, svp ? Retour sur un mouvement d’humeur inadéquat ? Regrets ? Prudence ?)

  49. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Observateur (in)attentif. J’ai censuré ma propre intervention ? Où donc ? De quoi parlez-vous ? Vous devez faire erreur je le crains : aucune modification de ma part où que ce soit. Pas mon genre, voyons.

  50. Observateur attentif Says:

    Alors c’est que je l’ai lue ailleurs, cette intervention, mais impossible en ce cas de me rappeler où (sur un commentaire d’un autre blog, sans doute) : vous mentionniez je crois une idée de séparation (ou de divorce) « largement entamée » entre vous et les ELS, et votre phrase commençait pas « Autant dire que… ».

  51. Observateur attentif Says:

    Voici, je l’ai finalement retrouvée : il s’agissait d’un commentaire de vous sur le blog de cette gamine, la petite peste de l’édition (quelques bonne claques se sont sans doute perdues, jadis…) :

    http://wrath.typepad.com/wrath/2010/03/soir%C3%A9es-litt%C3%A9raires-et-d%C3%A9gradation-morale-des-wannabes.html?cid=6a00d83451924f69e20120a93c4d66970b

    Citation :

    Pour que les choses soient tout à fait claires, j’ai organisé et financé cette soirée seul,— soirée à laquelle j’invite donc mon éditeur — avec la logistique et l’accueil du CENT (où je suis en effet en résidence). Un compte rendu beaucoup moins superficiel que celui de Nicole, sur mon blog (lien ci-dessus).
    Autant dire qu’avec Léo Scheer, le divorce est bien entamé. Je viens de recevoir d’ailleurs un courrier de sa part, et auquel je vais répondre très rapidement.

    Fin de citation.

    J’en parlais car je crois que vous faites une erreur : cherchez dans le paysage éditorial quel éditeur aurait fait pour votre (gros) livre ce qu’a fait Leo Scheer. Cherchez quel éditeur gardera ce livre à son catalogue, si quelques dizaines seulement sont vendus. Je connais bon nombre de maison où vous n’existeriez déjà même plus, n’ayant vendu que quelques dizaines d’exemplaires depuis la sortie de votre livre. J’entends par là qu’on ne prendrait même plus vos appels et que vous auriez une jeune stagiaire pour seule interlocutrice : vous seriez « fini », « brûlé » alors que vous avez manifestement du talent. Permettez-moi un conseil de « vieux confrère »: la qualité d’un relation avec un éditeur se juge sur le long terme. Vous êtes jeune et sans doute impatient, ce qui est légitime. Mais moi, à mes débuts, j’aurais été très heureux de pouvoir commencer avec quelqu’un comme Leo Scheer.

  52. AK Says:

    Observateur attentif, en fait je crois bien que Hyrok a été vendu à 1000 exemplaires, ce qui ne serait pas si étonnant que cela, car il a reçu beaucoup de soutiens de la part des sites littéraires sur internet, dont Discordance et d’autres. Je suis assez d’accord avec vous, les ELS pour un premier livre, c’est très bien, et c’est bien pire ailleurs. Même si, cela me fait chier de devoir dire, que si Nicolaï était un photographe de mode connu, ami de Beigbeder, pote de Kate Moss, et pseudo amant de Carla, il aurait eu une sublime couv, des entretiens télévisés, l’intérêt des journalistes, etc. et c’est pour cette raison que les éditeurs publient souvent des gens qui ont des relations, car ils se vendent mieux auprès des médias. Cela n’empêche pas des écrivains sans aucune relation, de trouver leur public et parfois même un gros public. Preuve en est, les succès littéraires en France de ces dernières années, écrits par des provinciaux sur des sujets parfois difficiles et pas glamour du tout.

  53. Observateur attentif Says:

    Si ce chiffre de 1000 est confirmé, alors je ne vois franchement pas où est le problème : beaucoup de premiers romans se vendent à moins de 500 exemplaires, même chez de « gros » éditeurs. 1000 livres vendus pour un auteur inconnu et sans aucune relation, c’est bien plus qu’honorable. Avec ces 1000 exemplaires vendus pour un premier livre – surtout celui-ci, qui est quand même un « pavé » – il y a un peu plus de 25 ans, j’aurais été ravi : les grosses ventes pour de premières oeuvres sont exceptionnelles et ne pas en bénéficier, pour telle ou telle raison matérielle, et plus ou moins « hors de contrôle » (car un éditeur n’est pas si puissant, croyez-le bien) ne préjudicie absolument pas de la suite. A votre place, NLR, je continuerais à faire confiance à Leo Scheer.

  54. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Observateur attentif. Merci de vos conseils et votre amabilité. Pour mon « entrée en littérature », comme on dit dans les salons chics, j’ai été, oui, très heureux d’avoir pu « commencer avec quelqu’un comme Léo Scheer » — pour reprendre votre expression. Il me vient là des souvenirs de joie intense, tels les premiers émois amoureux, qui laissent toujours des traces profondes. Quant aux chiffres de ventes REELS, par rapport aux « 700  » annoncés régulièrement par mon éditeur (ou aux « 1000  » fantasmés dans je ne sais quel conte de fée), on est sans doute loin du compte : compte exact qui ne pourra être effectué que lorsqu’on soustraira les « retours » de la fameuse « mise en place » (nombreux retours me dit-on en coulisse, les libraires, exsangues, étant très près de leur trésorerie). Vaut mieux ne pas se gargariser avec les zéros, il y en a souvent bien moins qu’on croit, en fin de compte.

    J’ai supprimé votre avant dernier message, selon votre volonté.

    @AK. Je crains que vos croyances (1000) soient en fait des… croyances. J’en suis même certain. (Ceci dit j’aurais bien sûr aimé vous donner raison :)

  55. Nestor Burma Says:

    -Quant aux chiffres de ventes REELS, par rapport aux « 700 » annoncés régulièrement par mon éditeur (ou aux « 1000 » fantasmés dans je ne sais quel conte de fée), on est sans doute loin du compte : compte exact qui ne pourra être effectué que lorsqu’on soustraira les « retours » de la fameuse « mise en place » (nombreux retours me dit-on en coulisse, les libraires, exsangues, étant très près de leur trésorerie).-

    Jolie description !!!

    Mais l’essentiel n’est-il pas d’être publié,
    Pour en vivre, il faudrait changer d’échelle et publier plusieurs livres chaque année.

  56. La Castafioresse... Says:

    Hello ! Comme dirait Knight, nic ou riprip (?) en parlant de MEN-NABE, il me semble que vous causez tous beaucoup de la thune par ici…

    PS : je vote pour l’Observateur attentif. « Bien évidemment »…

  57. Stalker Says:

    Nestor Burma, quelle naïveté que la vôtre : pour vivre de ses livres, il faut soit avoir un métier qui n’a, de préférence, strictement rien à voir avec la littérature, ce qui vous laisse la possibilité d’écrire, voire de publier pour le plaisir, soit écrire de la merde, d’abondance distribuée par ces relais du rien que sont la majorité des machins journalistiques à prétentions littéraires, style Chronic’art et autres rinçures parisiano-parisiennes. Autrement dit, en effet, lécher tous les derrières, être de toutes les petites combines, de toutes les coteries et, surtout, plaire aux journalistes organisés en petits réseaux.
    Rien de nouveau, cette situation, bien que décrite et stigmatisée des milliers de fois, n’en est pas moins réelle…
    Il y a, bien sûr, le miracle, toujours possible : un grand livre qui se vend bien, voire beaucoup. Mais ce ne sera jamais qu’un miracle ou, pour les non-croyants, un heureux hasard de circonstances.
    Oui, cher Nicolaï, lorsque, sans connaître les chiffres, Léo Scheer durant ta soirée a lancé à la cantonade 700 exemplaires de ton Hyrok vendus, j’ai tiqué, parce que tant (éh oui) d’exemplaires vendus auraient supposé une presse (y compris virtuelle) qu’hélas ton livre n’a pas eue.
    Jette un oeil sur Edistat; j’entends dire que ses chiffres ne sont jamais certains à 100%, reste que c’est une bonne base pour estimer tes ventes.
    De toute façon, concernant M@nuscrits, Léo Scheer n’est plus à une approximation près mais chut, il va encore affirmer que nous sommes tous des envieux et de très méchants auteurs qui à tout prix veulent ruiner M@nuscrits, moi le premier !
    C’est tellement peu le cas que je dois être un des très rares à avoir évoqué TROIS de ses titres (de Dahlia, Varrin et Mengel) parus dans cette collection qui, si elle périclite, périclitera en raison d’errements qui n’ont strictement rien à voir avec l’exercice critique, bien au contraire.
    Quels errements ?
    Qu’il jette donc, notre cher éditeur, un oeil et même deux sur les centaines de messages, sur son propre blog, ou des commentateurs intelligents, pas tous insultants, pointent TOUTES les raisons de l’échec de M@nuscrits, car échec il y a, que l’on tourne la question dans n’importe quel sens, et ce ne sont certes pas les pseudo-avis étayés sur rien du tout de deux ou trois (allez, quatre, grâce à leurs pseudos) vieilles rombières hystériques et décérébrées qui tombent en transe devant la moindre ligne venue des ELS qui me feront franchement changer d’avis.

  58. Sophia-Maïté Ray Says:

    Le mieux serait de savoir à combien d’exemplaires HYROK a été imprimé et racheter tout le stock, grâce au soutien financier des Editions du Songe, tout ça pour imiter ce cher Nabe, et nous lancer, notre tour, dans l’anti-édition…

  59. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Stalker. Mais non Juan, tu te trompes, comme souvent : Maintenant que Léo s’entoure des éléments les plus brillants de la blogosphère littéraire (rippe-le-sous-Buko et son compère Dartagland, Beurk-la-pute, Prout-la-bite — des « stars » de ce calibre, quoi — et toutes leurs admiratriiiiiices oué ouééé les fiiiiilles), et qu’il envoie balader les plus mauvais, les plus irrécupérables (iPhone, toi, plus récemment Laurence, etc. — moi, j’en parle même pas), comment peux-tu imaginer un seul instant la faillite de M@nuscrits ? (voire de son blog.) Franchement t’exagères là. M@nuscrits 2.0 est en pleine montée, en pleine renaissance, il n’a jamais été aussi crédible et péchu, et toi tu… Non Juan, là vraiment je comprends pas. Tu devrais manger des fruits.

  60. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Sophia-Maïté Ray. Le « mieux » j’y songe tranquillement. N’ayez crainte. Et merci !

  61. Nestor Burma Says:

    @ Stalker
    <Nestor Burma, quelle naïveté que la vôtre : pour vivre de ses livres, il faut soit avoir un métier qui n’a, de préférence, strictement rien à voir avec la littérature, ce qui vous laisse la possibilité d’écrire, voire de publier pour le plaisir, soit écrire de la merde, d’abondance distribuée par ces relais du rien que sont la majorité des machins journalistiques à prétentions littéraires, style Chronic’art et autres rinçures parisiano-parisiennes. Autrement dit, en effet, lécher tous les derrières, être de toutes les petites combines, de toutes les coteries et, surtout, plaire aux journalistes organisés en petits réseaux.<

    C'est plutôt vous le naif aux œillères, vous prétendez tout comprendre, savoir qui vit de quoi, qui est de la merde, qui n'en n'est pas.
    Tout cela est bien ridicule, si le schéma nonpublié=finefleurdelapensée et publié=merdedistribuéed'abondance est le votre, faut vous calmer et créer votre maison pour changer la face du monde.

    D'abord, que veut dire un bon livre ?
    Un livre est-il l'œuvre d'un génie ?
    Peut-on vivre sans se prostituer ?

    Et mille question du genre

    Note : je suis éditeur sans participer à ce que vous décrivez.

  62. Stalker Says:

    Fascinant, je ne m’en lasse pas.
    Il me semble avoir posé un constat qui est d’une absolue banalité mais pas moins clair et voici que vous, Nestor Burma, éditeur donc, faites miennes de lamentables oppositions que l’on dirait parues sur le blog de Wrath ?
    N’y a-t-il donc pas un troisième terme dans ce que j’ai écrit : un TRES GRAND livre qui se vend TRES BIEN ?
    Ce qui ne veut donc pas dire qu’il n’existe pas de très bons livres qui se vendent moyennement, pas vrai ?
    Non ?
    Ah, si, zut, c’est vrai.
    Le fait de parler, de plus, de gagner sa vie (la gagnez-vous grâce à ce que vous éditez ?) tout en écrivant n’est pas exactement le même débat que celui des bons/mauvais livres qui se vendent ou pas.
    Un éditeur, c’est avant tout un lecteur. Apprenez donc à lire ne serait-ce que cinq lignes d’un banal commentaire.
    Je n’ai jamais prétendu que vous participez de ceci ou de cela, du reste.
    Quant à vos questions : sans blague, voulez-vous que nous nous lancions dans cet océan de complexité par commentaire interposé ?
    J’ai mieux (en lien).

  63. Nestor Burma Says:

    <<Fascinant, je ne m’en lasse pas.

    Toujours aussi prétentieux.

    <<Il me semble avoir posé un constat qui est d’une absolue banalité mais pas moins clair et voici que vous, Nestor Burma, éditeur donc, faites miennes de lamentables oppositions que l’on dirait parues sur le blog de Wrath ?<<

    Je ne fais que vous lire en train de vous lamenter sur votre triste sort.

    <<N’y a-t-il donc pas un troisième terme dans ce que j’ai écrit : un TRES GRAND livre qui se vend TRES BIEN ?<<

    Comme si cela pouvait avoir de l'importance

    <<Ce qui ne veut donc pas dire qu’il n’existe pas de très bons livres qui se vendent moyennement, pas vrai ?<<

    Incroyable, vous me faites douter.

    <<Le fait de parler, de plus, de gagner sa vie (la gagnez-vous grâce à ce que vous éditez ?) tout en écrivant n’est pas exactement le même débat que celui des bons/mauvais livres qui se vendent ou pas.<<

    On est bien d'accord

    <<(la gagnez-vous grâce à ce que vous éditez ?)<<

    Moyennement je mérite bien sûr beaucoup mieux.

    <<Un éditeur, c’est avant tout un lecteur. Apprenez donc à lire ne serait-ce que cinq lignes d’un banal commentaire.<<

    Croyez-vous ?
    Un éditeur c'est le patron d'une maison d'édition, le sens que vous donnez est le sens anglais.

    <<Je n’ai jamais prétendu que vous participez de ceci ou de cela, du reste.<<

    ET bien tant mieux

    <<Quant à vos questions : sans blague, voulez-vous que nous nous lancions dans cet océan de complexité par commentaire interposé ?
    J’ai mieux (en lien).<<

    Cela peut attendre.

  64. Nicolaï Lo Russo Says:

    Bon, là ça suffit, s’il vous plaît messieurs. On quitte le fil consacré à la soirée HYROK.

    Pour vos échanges, certes pas inintéressants, veuillez vous contacter par mails. Merci. Les prochains de ce type seront « décapés ». (Je connais trop la montée en venin de ce genre d’exercice, ayant essuyé les plâtres sur d’autres blogs…)

  65. Nestor Burma Says:

    Ok Nicolaï
    A+

  66. Mon iPhone m'a tuer Says:

    A tous : arrêtez de vous plaindre, changez de modèle, inventez-en un nouveau.

    Exemple : Il était devenu quasi-impossible de passer une critique littéraire digne de ce nom dans un journal papier ? Eh bien nous avons fait des blogs. Et oui, c’est mieux de pouvoir trouver ainsi dix avis supplémentaires sur un livre, certains de trois lignes, d’autres de 400 lignes (hélas, la blogosphère française reste très pauvre par rapport à d’autres).

    Il est désormais quasi-impossible de sortir un livre papier dans des conditions satisfaisantes ? Eh bien… que faire de positif, au lieu de répéter toujours les mêmes critiques.

    En tant qu’auteur, je ne veux plus entendre parler du système de production, de sélection, de diffusion et de réputation du livre papier. C’est niet, fini, sans moi. Mon prochain texte, je chercherai d’autres moyens de le faire découvrir (et bien sûr, je n’espère pas gagner un kopek, quand je veux gagner de l’argent, je n’écris pas de livre).

    Je laisse donc à d’autres le déplaisir de critiquer sans fin et sans résultat les petits fours, les copinages, les pilons, les merdes popularisées par marketing, les choix arbitraires, les droits de cuissage, les promotions canapé, les livres à deux mois de durée de vie, les prix pourris attribués d’avance, les gloires indues, les libraires perdus dans les offices, les éditeurs foutus par les retours, les lecteurs manipulés, les petits écrasés par les gros, etc.

    Il sort de tout cela une immense impression de pesanteur et d’aigreur. La fin d’un monde.

  67. Nicolaï Lo Russo Says:

    iPhone. Voilà qui est clair et bien dit. Mais il est parfois quelques boutons — purulents pour certains — qu’il est nécessaire de percer avant que renaisse le printemps. Allez, plus que quatre jours. Puisse-t-il être long ce printemps, et très fleuri.

  68. Stalker Says:

    Sacrément prétentieux et à cran cet éditeur anonyme, mon intervention était pourtant amène.
    Mon IPhone : vous avez raison quant aux blogs, vrai espace de liberté sous le seul regard d’une critique journalistique française à peu près nulle.
    Pour le reste, nous verrons bien que ce va donner votre travail, je préfère encore le monde que je connais, avec ses erreurs, aux vagues utopies souvent désastreuses conçues par de pesantes machines cérébrales.

  69. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Stalker. Restons-en là, je te prie, pour ce nano fight avec Nestor. Allez, « Un partout », la balle confisquée :-) On est tous un peu prétentieux en ce bas monde. Ça devient nécessaire de prétendre pour être. De gueuler un peu. Pas forcément à coup de décibels d’ailleurs. Juste dire qu’on existe.

    NB : J’ai supprimé un jugement de valeur un peu hâtif, inutile, dans ton message, à l’endroit de Nestor. Mais je serai pas toujours là pour le faire, à l’avenir. Essayons de rester modéré, au moins en public. Merci.

    • Nestor Burma Says:

      Merci Nicolaï,
      Ce Stalker devait être remis à sa place.

      @Stalker
      Pour mon anonymat,
      Pas de problème,
      Mon nom a été imprimé à des millions d’exemplaires,
      Vous pouvez vous en passer ici,
      Et Nicolaï sait qui je suis c’est suffisant,
      On est chez lui après tout.

  70. christiane Says:

    Bonjour Juan, bonjour Nicolaï,
    loin de la houle parisienne, je marche. Là-haut, des chèvres accrochées aux rochers comme des guirlandes de noël, et puis la mer en contre-bas qui est neuve, avec ses anses vides, ses algues, ses pierres roulées de marées rageuses. La neige a disparu mais pas les mauvais souvenirs qu’elle a laissés ici. Les fleurs surgissent de partout mais qui pour consoler les oliviers et les vignes dont les branches ont cédé sous le poids de la neige ? les caillasses recouvrent la route, la montagne est béante, blessée. Le soleil tant attendu revient mais il y a partout des cheminées qui fument car les soirées sont glaciales.
    Hyrok… quel beau temps de lecture j’ai passé dans ce livre. Pas prète à oublier la petite vio.

  71. Nicolaï Lo Russo Says:

    Ah, christiane ! MERCI pour ce bol d’air marin. Bien besoin. Et bonnes balades à vous, profitez-en.

  72. becdanlo Says:

    Purée de nos os… je n’arrive même plus à commenter sur le blog m@n… Léo est livré à lui-même… c’est la fin -rire-

    bec’
    :)

  73. Mon iPhone m'a tuer Says:

    Stalker : je n’ai nullement en tête une vaste utopie, je pars également de ce qui existe (le numérique plutôt que le papier) et non d’une pure construction mentale, je n’ai évidemment rien contre ceux faisant un autre choix.

    J’attire l’attention sur une hypothèse locale, à savoir que le système papier n’est pas réformable (et est de toute façon en bout de course), que le système numérique offre d’autres possibilités à explorer, que la vie étant limitée tout comme le temps et l’énergie en son sein, j’ai fait mon choix, qu’ici comme ailleurs, on gaspille une somme considérable de ce temps et de cette énergie à condamner plutôt qu’à construire.

    Et vous connaissez bien sûr mon attitude plus générale : la perfection n’est pas de ce monde, tout système (surtout humain) a des travers et des défauts, il serait naïf et dangereux de croire en un système parfait comme il serait illusoire et mensonger d’en faire la promesse, etc.

    C’est une question très basique en fait : dans l’heure qui vient, je ne vais plus gâcher mes neurones à critiquer la enième incartade de Leo Scheer, à commenter le enième couinement de Wrath, à m’énerver sur la enième injustice ou bouffonnerie ou mystification de la progéniture issue des copulations entre l’imprimé, le marketing et le mass-media.

    Et donc, je retourne à mes réflexions, non sans avoir au passage salué et remercié Nicolaï, ce que j’avais lamentablement omis de faire en déboulant chez lui!

  74. Iris Says:

    Christiane, dites-le me le, ne seriez-vous double ? Vos embruns, de loin me parviennent…

  75. christiane Says:

    Iris…(quel joli prénom à la Boris Vian… Oui, la solitude ici est presque complète , même quand on marche auprès d’un ami car la mer vous agrippe de toute sa sauvagerie et le maquis ferme aussi sa masse compacte sur les vents et les oiseaux. Et ces lumières au jour perdant avant que la nuit entière se pose glacée sur les maisons où on a laissé une bûche dans l’âtre pour couver les braises.
    Je n’aime pas la mer, elle me fait peur mais j’aime les grands voiliers, les marins intrépides, j’aime les départs à flanc de coque, étrave ouvrant l’eau sauvage. J’aime les embruns et comme un certain Louison sentir le sable entre les doigts de pieds et tenter des rêveries où elle vous emporte méchante et vorace dans son ventre salé.
    Si j’avais été là (à la soirée) je me serais enfermée dans le livre pour vous en confier ce qu’il m’a dit dans son encre terrible, comme une femme de marin attendant sur le promontoire venteux le retour de celui qu’elle sait ne pas revenir. Cet amour tragique de Louison brûle dans ce beau roman comme un feu, là-haut, pour guider les vaisseaux du non-retour.
    Toute belle amitié.

  76. Nicolaï Lo Russo Says:

    Merci de poser vos beaux mots sur mon modeste rivage, très chère christiane. Je sens à vous lire les embruns, le ciel vivant, le sel de cette mer vaste qui me manque ; comme vous m’avez manqué ce fameux soir. Mais il y en aura d’autres, d’autres vagues, d’autres moments et de précieux. Rien n’est jamais fini sous les dunes : le sable se renouvelle sans arrêt.

  77. christiane Says:

    merci Nicolaï

  78. Sophia-Maïté Ray Says:

    Pour la libération des gastéropodes, afin qu’il ne confondent plus leurs pieds avec leur estomac http://www.mespetitsbonheurs.com/poesies-comptines-poemes-theme-escargot/

  79. Sophia-Maïté Ray Says:

    Et que la lune veille sur nous, pauvres petits
    http://wheatoncollege.edu/academic/academicdept/French/ViveVoix/Resources/chansondesescargots.html

  80. r1 Says:

    Dis donc, Nicolaï, il s’en passe des trucs chez toi ! Et même si je trouve borderline les attaques de l’indispensable Stalker sur le physique de Marie Lebrun, le bougre est toujours aussi drôle – et si souvent pertinent, même si ça fait parfois mal…
    Bref, je voulais juste te dire que je t’ai balancé quelques amicales, et néanmoins viriles, pensées le soir de ta sauterie à laquelle il m’était impossible d’assister (on s’en fout, mais je le regrette fort) ; et t’enjoindre de continuer, écrire, ne pas désespérer. Seul ce que nous faisons compte, le brouhaha autour, c’est « much ado… » Tu connais la suite.
    A bientôt, camarade !

  81. Iris Says:

    @r1. Pourquoi dites-vous ça ? Nicolaï aurait-il eu l’idée saugrenue de renoncer à écrire ? Ce serait saugrenu tout autant que suicidaire et absurde, tel son coup de gueule, je l’avoue, assez incompréhensible, envers les ELS. Il semblerait qu’il y ait eu trop de non dits. Alors, chacun y va de sa petite interprétation tout en alimentant le feu au lieu de chercher des arguments pour les réconcilier.

  82. Nicolaï Lo Russo Says:

    @Iris. Renoncer à écrire ? Oh que non, bien au contraire, chère IriSerpentinVérabambelle & ses douze mille masques (sur ce blog-ci, notez que Véra, juste Véra, me convient parfaitement ; pour plus de clarté vous voudrez bien vous y tenir, s’il vous plaît ; je ne conduis aucune « expérience », moi, et suis peu féru de cosmétique…)
    Coup de gueule « incompréhensible », dites-vous. Je comprends votre point de vue. Votre point de vue 100% virtuel d’une situation pourtant bien réelle. Avec des vrais gens remplis de vrai sang. La vie n’est pas un concept, vous savez. C’est juste la vie qui bat.

    Pour les « non-dits », faudrait ouvrir un bureau. Le bureau des « non-dits » ; en face : le cabinet des « faux-semblants » (avec à sa droite le Guichet de la Méchanceté.)

    Dès que ce sera sur pied, je mettrai une annonce pour trouver une concierge. Que ça reste propre.

    Bonsoir, chère Véra.

    @R1. Thanx ! Te fais pas de bile, tout va bien. Ou presque.

  83. Iris Says:

    Et toc !

    Bonsoir Nicolaï, ou plutôt bonjour – oui, puisque j’observe que l’heure sera bien affichée à mon commentaire – virtuel.
    Je hoche la tête en levant les yeux au ciel… devant votre injustice.

    Ah ! les petites concierges, les petites concierges de Paris, voilà encore un vieux métier qui se perd. C’est vraiment trop injuste !

    Signé Iris.

  84. Iris Says:

    PS : becdanlo a un beau pseudo. r1 aussi. ;)

  85. IriSerpentinVérabambelle Says:

    PPS : pour le copyright de mon nouveau pseudo, vous prenez combien ?

    • Nicolaï Lo Russo Says:

      Prenez le pseudo que vous voulez, mais tenez-vous-y, please, au moins ici. Si sur un fil de discussion il y a trois commentateurs, j’aime (pour ma part) voir qu’il y en a trois, et non pas trente… (même si les nooooombreux visiteurs ont l’impression qu’il y a foule).

      Le « copyright » sur internet, vous savez… Citer ses sources suffit : NL® (hé hé)

      « Pantin verbal Irisé », ce costume-ci me plaît, je vous l’offre ! N’oubliez pas le camphre dans les poches pour éloigner les mites.

  86. Panthere Says:

    Bonsoir cher Nicolaï,

    De lire tous ces commentaires, et qu’il y ait eu foule à votre soirée, me fait croire que votre livre en vaut le coup.
    Je le lirai attentivement. Et vous ferai part de mes commentaires, si cela vous dit.

    Continuez à écrire. Surtout.

  87. IriSerpentinVérabambelle Says:

    Le camphre ? Mais je ne suis pas à l’armée…

  88. 19 MARS ALMANACH PERPETUEL LEO NEMO L’ETERNITE ROMAN - LEO NEMO L’ETERNITE ROMAN - Blog LeMonde.fr Says:

    […] partie de la France. SUR CET ECRAN, INLASSABLE, J’ECRIS TON NOM, FRATERNITE. Te souviens-tu que NICOLAÏ LO RUSSO, HYROK ROMAN, EDITIONS LEO SCHEER, aura reçu le PRIX LEO NEMO 2010 ? Autres 19 MARS (autres histoires). Et […]

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